Critique de théâtre pour les temps qui restent
Quel discours esthétique les performances contemporaines élaborent-elles sur la modernité et quelles expériences cosmologiques alternatives proposent-elles au public ? Cette chronique s’appuiera sur l’analyse de performances contemporaines verbales ou non verbales, en prêtant attention à la façon dont ces performances peuvent affecter, voir transformer, au-delà de l’espace-temps de la représentation, le corps du×de la spectateur×trice.
Restes et devenir des restes au théâtre, Sur Chants d’adieu d’Oriza Hirata
La chronique de théâtre de Déborah Bucchi commence par une lecture de Chants d’adieu d’Oriza HirataTraduit du japonais par Yutaka Makino, Besançon, Les Solitaires Intempestifs, 2007., une fiction dramatique sur le poids des modernités française et japonaise, et ce qu’il en reste.
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