invisibles
Restes et devenir des restes au théâtre, Sur Chants d’adieu d’Oriza Hirata
La chronique de théâtre de Déborah Bucchi commence par une lecture de Chants d’adieu d’Oriza HirataTraduit du japonais par Yutaka Makino, Besançon, Les Solitaires Intempestifs, 2007., une fiction dramatique sur le poids des modernités française et japonaise, et ce qu’il en reste.
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