Chansons vertes et rouges pour les temps qui restent
Je me suis engagé depuis très longtemps dans la voie de la transmission orale des poètes, tant dans l’espace public que sur des scènes. On en saura plus sur ce travail en consultant mon site: www.michelarbatz.com. La chanson est une des formes de cette circulation, et ce format bref et concis a véhiculé depuis toujours et en toute modestie bien des révoltes et des interrogations. D’où l’idée de cette rubrique de chansons rouges et vertes pour les oreilles curieuses : rouges pour la honte ou la colère qui nous viennent à regarder les désastres du monde, vertes pour célébrer l’immémoriale invention du vivant. J’en prends la responsabilité, mais souhaite bien y inviter d’autres auteurs-compositeurs animés du même esprit.
Java marxienne
Dans ce premier épisode de la chronique des «chansons vertes et rouges pour les temps qui restent», Michel Arbatz partage une chanson qu’il a écrite jadis, à l’occasion de sa rencontre avec un dissident soviétique alors qu’il était militant révolutionnaire.
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